Depuis 40 ans, les approches de pleine conscience font l’objet de nombreuses études scientifiques randomisées et contrôlées.

L’utilisation récente des techniques d’imagerie cérébrales (IRM, EEG…) permet de commencer à objectiver les effets de la méditation sur le cerveau (plasticité cérébrale, modifications au niveau de l’amygdale et de l’hippocampe, du cortex cingulaire postérieur et préfrontal, du carrefour temporal-pariétal…) et sur le corps (pression artérielle, système hormonal, système immunitaire, matrice de la douleur…).

L’intérêt des scientifiques pour la méditation a également donné naissance en France à un premier diplôme universitaire de Médecine, Méditation et Neurosciences à Strasbourg puis à Paris (Pitié Salpêtrière/Sorbonne) et à Lyon.

Aussi utiles pour les patients que pour les soignants, ces approches sont aujourd’hui accessibles aux étudiants des facultés de médecine de Strasbourg et Paris.

Sur les liens entre médecine, méditation et neurosciences, plus d’informations sont disponibles dans le documentaires d’Arte « Les étonnantes vertus de la méditation » et sur le site de l’AMRA.